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3 mois a pilsen
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11 juillet 2009

Samedi 11/07/09

Deuxième jour à Vienne, petit déjeuner sur la terrasse d’un café infesté d’abeilles et c’est reparti pour une journée. Avant il faut décider de la suite du programme, comme tout le monde s’en fout plus ou moins de choisir, on part direction l’office du tourisme, prendre cartes et informations. Stuffer pour partir à l’aventure dans la capitale autrichienne, on décide de se faire un petit circuit bien touristique qui nous amène à visiter le centre ville et la maison l’hôtel de Mozart. Après un bento box teriyaki mangée dans un japonais, on fait dans le local. On se programme une après-midi culturelle : visite du musée Belvédère, seulement l’upper one. Dans lequel on a l’occasion d’apprécier, sur les premiers étages, l’influence de la religion sur les œuvres ancienne, au fur et à mesure de notre ascension les artistes se lâchent, se modernisent, le double point d’orgue étant le baiser de Klimt et une peinture de Napoléon familière à tous les écoliers français qui ont eu un manuel d’histoire entre les mains. Le musée est magnifique toussa toussa.

Je ne me rappelle plus trop ce qu’on a fait après (du genre parc+glace), toujours est-il qu’on s’est retrouvé à l’auberge pour se changer se doucher voir les deux. Ensuite direction le centre-ville pour trouver un restaurant (je vous raconte pas la difficulté à choisir la direction à prendre à chaque croisement, ça aurait été plus vite avec un dé à trois faces). On finit par s’attabler et manger – enfin de la vraie viande. On se dirige ensuite vers un endroit qui d’après les indications prises à l’auberge bouge pas mal. C’est sur les rives du Danube sur quelques centaines de mètre une enfilade de bars et pseudo boites de nuit, le rendu est glauque et malgré qu’on soit un samedi il n’y a pas foule, la plupart sont autrichien ce qui ne nous enclin pas à rester, on tente quand même un bar dansant mais il n’y a pas de place pour s’assoir et l’ambiance est pas ouf ouf. Hop Hop on reprend le metro dans l’autre sens et on sort quelques arrêts plus loin où un groupe d’américaines étaient sorti. Arrivé dehors ce n’est pas gagné, on tombe sur une gare de banlieue, l’allemand d’Antoine ne fait pas défaut et il nous trouve une boite de nuit pas loin. Boite de nuit qui ressemble à si méprendre à un assemblage de préfabriqués u___u.

On se rabat sur fête foraine qui trainait dans le coin. Ca doit bien être la première fois que je mets les pieds dans un parc d’attraction, peut-être la deuxième, lol. Petite promenade entre les autos tamponneuses et les trains fantômes, Camille fait remarquer qu’il n’y a pas de barbe à papa, il est vrai que l’association barbe à papa et fête foraine n’est plus à prouver, sauf en Autriche. On continue à marcher jusqu'à tomber sur une attraction (Booster me dit google !!)  plus funky que les autres, un mec monte dessus tout seul, il a des guts et il vomi même pas partout (j’espère bien qu’il n’a pas son téléphone dans sa poche sinon il ne l’a plus). Je ne sais pas trop comment on en est venu à se dire pourquoi pas en faire, j’étais plutôt pour le : pas en faire. Camille puis Jud se sont motivé et ils ont réussi à me faire changer d’avis. Donc on s’est fait un ride (on dit comme ça dans le milieu -___-) de Booster à trois. Une foi bien harnaché (fait pas l’con hein !) c’est parti pour quelques tours, comme les sièges sont monté sur une liaison pivot totalement libre ça rajoute des accélérations aux bons moments et on se retrouve la tête en bas, après une pause tout en haut ou on a pu reprendre nos esprits et admirer la vue (qui a été la première motivation, on devait faire la grande roue à l’origine) on repart pour d’autres tours dans le sens inverse, avec en bonus un mur juste en face histoire qu’on flippe de se le prendre à chaque tour. Finalement ça ne dure pas assez longtemps, mais c’est du concentré.

Après toutes ces émotions, il n’est pas loin d’être minuit et de l’heure des derniers métros, on se rapproche du centre ville pour éviter de finir la soirée à marcher alors qu’on a déjà bien donné dans la journée. Finalement on termine dans le bar (super mignon) qui jouxte l’entrée de l’auberge.

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